QUELQUES OUVRAGES MILITAIRES FORTIFIES RUINES DANS LES ENVIRONS DE SAINT-MIHIEL 55300Visite des 27 et 28 avril 2002 |
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Niche du monte-charge de l'atelier souterrain des poudres. Détail de l'axe de levage |
Atelier souterrain de poudres pour le montage des obus |
Détail d'une niche de lampe de sécurité (ayant essuyé un bombardement) |
Vue de la grande poudrière septentrionale |
Détail extérieur d'une niche à lampe de sécurité |
Les poudrières étaient
de vastes chambres voûtées en plein cintre et isolées de tout, dans
lesquelles on stockait la poudre de guerre, les explosifs et les munitions légères
(les munitions lourdes étant montées au dernier moment dans les ateliers
souterrains). L'on accédait à ces lieux, très surveillés, par l'intermédiaire d'une antichambre dans laquelle le préposé devait obligatoirement revêtir des sabots en bois après avoir retiré ses chaussures à clous. Bien entendu, aucune autre sorte d'éclairage ne devait être utilisée en dehors de celle constituée de plusieurs lampes à pétrole qui étaient disposées aux deux extémités du tunnel et dont la lumière filtrait à travers des carreaux de sécurité. Ces éclairages fonctionnaient en permanence, permettant de surveiller nuit et jour ce qui se passait dans la poudrière. L'humidité était chassée par diverses aérations indirectes dont des barbacanes à intervalles réguliers qui courraient tout le long des parois. Une basse galerie sous la poudrière venait compléter ce dispositif isolant. |
Borne octogonale caractéristique marquant la limite de la zone militaire |
Romains (état initial) |
Entrée du fort des Paroches |
Vestiges de la cuisine |
Détail de la marmite |
Intérieur ruiné d'une caponnière |
Descente dans l'atelier souterrain des poudres |
Blockhauss allemand |
Intérieur du blockhauss |